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La ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, a demandé mardi que le président syrien Bashar al-Assad soit poursuivi pour avoir ordonné l’utilisation d’armes chimiques et la mort de centaines de milliers de Syriens pendant la guerre civile dans le pays.

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Colonna a frappé Assad lors d’une interview avec le diffuseur français France 2.

Elle a déclaré que l’homme de 57 ans devrait être jugé et a ajouté: “La lutte contre le crime, contre l’impunité fait partie de la diplomatie française”.

Assad la semaine dernière est revenu sur la scène géopolitique avec une apparition à un sommet de la Ligue arabe à Djeddah en Arabie Saoudite. C’était une première apparition au bloc régional en une décennie.

Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, qui a ouvert le sommet, a reconnu les douloureuses années de lutte en Syrie et a ajouté qu’il espérait que le rapprochement du pays apporterait une plus grande stabilité à la région.

saluer

Les utilisateurs des médias sociaux pro-Assad ont salué la visite d’Assad comme une victoire. Ils ont partagé des images de lui souriant et serrant la main de ses collègues dirigeants arabes.

Malgré le début de la réhabilitation, Colonne a déclaré que le gouvernement français ne changerait pas sa politique envers le dirigeant syrien.


“Nous devons nous rappeler qui est Bachar al-Assad. C’est un dirigeant qui est l’ennemi de son propre peuple depuis plus de 10 ans”, a-t-elle déclaré.

Un lifting de Union européenne des sanctions contre le régime syrien n’étaient pas prévues, a-t-elle ajouté.

“Tant qu’il ne change pas, tant qu’il ne s’engage pas dans la réconciliation, dans la lutte contre le terrorisme, la lutte contre la drogue… tant qu’il ne tient pas ses engagements, il n’y a aucune raison de changer notre attitude envers lui », a déclaré Colonna.

“Je pense que c’est à lui de changer, ce n’est pas à la France de changer notre attitude”, a-t-elle ajouté.





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